Mes voyages en Amérique latine

Les fêtes sont terminées, ouf

Les fêtes sont terminées, ouf ouf ouf.... c'est passé et qu'est ce que je suis contente, ils sont en train de démonter les arbres de Noël et les guirlandes dans l'entrée de mon immeuble.

Et depuis dimanche, les amis se sont reveillés, après m'avoir bien abandonnée pour le réveillon. "Mais j'étais sûr que tu passais le réveillon avec Raul, mais je ne savais pas que tu étais toute seule"...

Voilà ce que j'ai entendu de la bouche des amis. Eh bien non, je n'étais pas avec Raul. Mon plus vieil ami m'avait lachée et personne ne pouvait l'imaginer.

Marcus

Donc Dimanche, Marcus, le plus fidèle de tous, mon grand copain, m'a téléphoné pour avoir des nouvelles. J'étais allée à la piscine de l'immeuble, car j'ai vu à 9 hres ce matin qu'ils nettoyaient l'eau. Alors je me suis dit que j'allais être la première à nager dans l'eau proper de la piscine. J'en ai donc bien profité, il n y avait personne, j'ai fait des longueurs et des longueurs...

Marcus est venu me chercher, j'ai dejeuné chez ses parents, repas bahianais, arroz feijão, et ensuite on est allé chez ses amis qui habitent Itapoa, dans une maison d'un condomínio. Je les avais rencontrés en août, et adorés.

Donc j'ai passé une très bonne journée là bas, donc, avec des ... amis.

Carla

Carla, ce même après midi, m'a téléphoné. Pour dire qu'ils se réveillent tous en même temps. Quand est-ce qu'on se voit ??? J'ai eu plein de répétitions pour le show du réveillon etc etc...

Depuis hier le temps a viré. Eh oui ! Tout gris, tout couvert. Il a plu "une fois", hier... Alors que ça faisait depuis Noël qu'on avait une chaleur... "épouvantable"... Quand il y avait trop de monde partout il faisait un temps superbe et je ne pouvais pas aller à la plage, à cause de la foule, et maintenant qu'ils ont un peu dégagé, le temps est gris.

Bon, mais déjà le soleil commence à percer, mi figue mi raisin. Au bout du compte, tant qu'il ne pleut pas, ce qui empêche de sortir, on fait autre chose que la plage. Bon, c'est toujours lourd, lourd, mais gris. seulement déjà... le soleil est en train de percer derrière le tapis gris. Et puis c'est bien qu'il ait plu, parce que avec toute la foule qu'il y avait pendant les fêtes, mais c'était d'une saleté la plage, et la mer.

C'est la solitude dans cette ville qui me pèse, et aussi l'absence de mon ordinateur, qui compense pas mal, quand je suis seule, et aussi les travaux qui ont recommencé et qui ne me permettent pas de savourer un peu de repos à la maison, ou de regarder un film.

Les travaux ont terminé la trêve de Noël et ça a repris ce matin. Ils faisaient le goudron en face de ma fenêtre, donc, l'odeur... Fermer les fenêtres... Ensuite les bruit se sont intensifiés de nouveau.



Si vous saviez depuis quand je ne suis pas allée à la plage ! Ça coule, Ça coule sur le corps, en sueur tout le temps, je ne peux vous dire combien de douches je prends, combien de fois je me change de t-shirt, je lave tous les jours, et façon africaine, dans un seau, et à l'eau froide.

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