Ma copine Ana Lucia de São Paulo, m'a téléphoné pour qu'on se rencontre. Elle est chez sa fille Marina, ici à Salvador, que j'ai connue toute petite, mais... eux ils étaient partis passer les fêtes dans la Chapada. La vallée do Capão c'est la mode en ce moment, tout le monde y va.
Ana Lucia ! c'est une longue vieille histoire. Notre rencontre date de 1990 à Salvador. Je ne la conterai pas, trop long. C'est elle, entre autre dans nos souvenirs, qui m'a emmenée dans le Bloco d'Olodum, mon premier Carnaval, mon premier bloco.
Ana Lucia, suite à un divorce est partie vivre à São Paulo. On ne sait plus revu depuis des années. Mais toujours en relation par les e-mails.
Il y quelques mois c'est sa fille Marina, 23 ans, mariée, mère de famille, qui a repris contact avec moi. Elle se souvenait de moi. je l'ai connue petite. Elle, est repartie vivre à Salvador, sa ville natale.
J'étais en relation avec Marina. elle m'avait dit que sa mère venait passer les fêtes de Noël chez elle à Salvador. C'était l'occasion de nous revoir après pas 20 ans, mais presque.
La rencontre ne s'est pas faite toute suite. Quelques problèmes.
Bref, on a convenu d'un rendez-vous qui a failli échouer, suite au retard de mon amie (les embouteillages de Salvador, encore) mais on s'est vu tout de même et on a passé la soirée chez Marina.
Je lui ai donné um rendez vous à l'arrêt d'autobus du farol da Barra, facile. Je l'ai attendue une heure, dans des conditions insupportables : les vapeurs des bus qui s'arrêtaient juste au ponto, la chaleur humide, le vent, le debut de pluie, et ensuite des familles entières des banlieues, qui sortaient de la plage et qui piaillaient en attendant le bus !!!
Au bout d'une heure, j'ai dit “chega” ça suffit, quand même une heure de retard. Je suis rentrée à la maison. Arrivée, je reçois un torpedo (un sms), “On est lá au farol”… ensuite un appel téléphonique.
Alors ils sont venus jusqu'à chez moi, et à partir de là tout s'est résolu. J'ai passé toute la fin de journée avec eux, puis ils m'ont emmenée à leur maison, à Pituba, on a passé la soirée ensemble et ils m'ont raccompagnée en voiture à minuit.
Ana Lucia ! c'est une longue vieille histoire. Notre rencontre date de 1990 à Salvador. Je ne la conterai pas, trop long. C'est elle, entre autre dans nos souvenirs, qui m'a emmenée dans le Bloco d'Olodum, mon premier Carnaval, mon premier bloco.
Ana Lucia, suite à un divorce est partie vivre à São Paulo. On ne sait plus revu depuis des années. Mais toujours en relation par les e-mails.
Il y quelques mois c'est sa fille Marina, 23 ans, mariée, mère de famille, qui a repris contact avec moi. Elle se souvenait de moi. je l'ai connue petite. Elle, est repartie vivre à Salvador, sa ville natale.
J'étais en relation avec Marina. elle m'avait dit que sa mère venait passer les fêtes de Noël chez elle à Salvador. C'était l'occasion de nous revoir après pas 20 ans, mais presque.
La rencontre ne s'est pas faite toute suite. Quelques problèmes.
Bref, on a convenu d'un rendez-vous qui a failli échouer, suite au retard de mon amie (les embouteillages de Salvador, encore) mais on s'est vu tout de même et on a passé la soirée chez Marina.
Je lui ai donné um rendez vous à l'arrêt d'autobus du farol da Barra, facile. Je l'ai attendue une heure, dans des conditions insupportables : les vapeurs des bus qui s'arrêtaient juste au ponto, la chaleur humide, le vent, le debut de pluie, et ensuite des familles entières des banlieues, qui sortaient de la plage et qui piaillaient en attendant le bus !!!
Au bout d'une heure, j'ai dit “chega” ça suffit, quand même une heure de retard. Je suis rentrée à la maison. Arrivée, je reçois un torpedo (un sms), “On est lá au farol”… ensuite un appel téléphonique.
Alors ils sont venus jusqu'à chez moi, et à partir de là tout s'est résolu. J'ai passé toute la fin de journée avec eux, puis ils m'ont emmenée à leur maison, à Pituba, on a passé la soirée ensemble et ils m'ont raccompagnée en voiture à minuit.
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