Mes voyages en Amérique latine

C'est invivable à la plage, c'est invivable à la piscine

La plage ! j'ai fait des photos hier pour que vous le croyez.




Vanessa quand tu me parles de la Côte d Azur en éte, je ne pense pas que cela puísse être aussi horrible que ce que je vois à la plage do Porto da Barra.

La piscine : insoutenable car les gamins plongent, sautent, crient, et éclaboussent. Il y en a un qui envahit avec sa planche à surf, oui, dans une mini piscine d'immeuble.

Aujourd'hui il est venu avec un énorme ballon, et il a emmerdé tout le monde. Il n'y a simplement plus d'espace dans la piscine à part pour lui, et les gamins qu'il enrôle. Le ballon, un énorme, je précise bien, est allé deux fois du côté des transats. A la fin, j'ai pris le ballon et je l'ai jeté par dessus bord, cad par dessus le mur du prédio. Le gamin est resté “sur le cul” comme nous disons. Il est parti de la piscine, et je ne l'ai plus revu. C'est qu'ici personne ne dit rien même aux enfants, même les parents.

Mes connaissances

J'ai fait connaissance avec une femme, divorcée, bahianaise, qui habite un appart de l'immeuble, et qui va à la piscine (enfin sur le transat) chaque matin. (celle que j'avais rencontrée dans l'ascenseur (elle m'a dit que la piscine n'est jamais nettoyée par le personnel de l'immeuble, et qu'elle ne voit jamais les gamins aller aux toilettes (et il y en a quatre de toilettes et des douches aussi) cela m'a dégoutée.

Du coup je ne nage même plus dans la piscine.

Alors, plus de mer, et plus de piscine !

Quant aux voisins d'en dessous de ma fenêtre, des Italiens je pense, j'ai reconnu les sons des mots, et ce n'est pas du portugais, ils ont encore refait du barbecue hier soir, à 22 hres, et en plus de tousser, le mec il fume de la maconha et j'en profite je pourrais dire.... car toutes ces odeurs arrivent dans mon appart.

Les amis de Salvador, depuis le Réveillon, ils doivent quand même s'être rendu compte que j'étais quelque peu fâchée. Ils ne donnent plus de nouvelles (c'est la manière brésilienne... on laisse couler), et moi, je ne donne pas de nouvelles non plus. J'ai décidé que je ne ferai plus aucun effort, pour aller les voir, ils peuvent très bien, eux aussi, venir chez moi ! J'ai un appartement !

Quand je pense à tous ceux et celles qui ont répondu à mes envois de SMS ou de mails, (je parle de amis brésiliens), qui m'ont écrit "on va se voir"... et qui ne font pas de contact. Pour moi, je me dis bien que je ne recommencerai pas cette expérience là. Salvador : c'est fini.

Quant aux amis de la France, merci à tous ceux et celles qui m'ont envoyé leurs bons voeux, ou des e-cartes. Même si je ne peux ouvrir la plupart des e-cards, surtout les dromadaires. J'ouvrirai à mon retour en France.

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