Ces deux derniers jours que une accumulation d'échecs.
Deux fois je me suis programmé d'aller à des shows.
Hier samedi, j'avais contacté le couple connu au show de Calcanhoto pour leur demander s'ils allaient le soir au jazz du MAM, où j'étais déjà allée mais où je voulais retourner tellement j'avais aimé. Ils me disent que ils y vont et qu'ils me prennent en bas de mon immeuble vers 17h30/18h00. J'étais toute prête à descendre quand je reçois un appel, d'elle, me disant que son copain avait la diarrhée, qu'ils avaient été à une fête d'anniversaire et que probablement il avait mal avalé quelque chose.
Donc je me déshabille et je reste à la maison. Je rappelle que cet endroit est impossible à aller sans voiture, reputé dangereux, parce que isolé…. Alors de nuit … Qu'est ce que j'y aurais fait toute seule.
Aujourd'hui, re-belote : je me prends de courage pour aller assister toute seule, en fin d'après midi, 17 hres, il fait encore jour, à un show, de la chanteuse Claudia Cunha.
Hier samedi, j'avais contacté le couple connu au show de Calcanhoto pour leur demander s'ils allaient le soir au jazz du MAM, où j'étais déjà allée mais où je voulais retourner tellement j'avais aimé. Ils me disent que ils y vont et qu'ils me prennent en bas de mon immeuble vers 17h30/18h00. J'étais toute prête à descendre quand je reçois un appel, d'elle, me disant que son copain avait la diarrhée, qu'ils avaient été à une fête d'anniversaire et que probablement il avait mal avalé quelque chose.
Donc je me déshabille et je reste à la maison. Je rappelle que cet endroit est impossible à aller sans voiture, reputé dangereux, parce que isolé…. Alors de nuit … Qu'est ce que j'y aurais fait toute seule.
Aujourd'hui, re-belote : je me prends de courage pour aller assister toute seule, en fin d'après midi, 17 hres, il fait encore jour, à un show, de la chanteuse Claudia Cunha.
Image d'Internet |
J'arrive à 17h30 et j'ai la surprise d'apprendre que tous les billets ont été vendus, et qu'il y a juste une petite chance de faire la queue, pour récupérer les invitations que les invités n'auraient pas retirées. J'ai pensé que j'avais une chance car ils étaient tous en bande et moi toute seule, alors une place ça se trouve plus facilement. Eh bien non ! Les 7 billets qu'ils ont vendus me sont passés sous le nez.
Ils ont décidé de donner une 2 ème séance 1h 30 plus tard, cad que cela commencerait vers 19 hres et se terminerait vers 20h 30. Et là j'ai du abandonner, parce qu'une fois de plus ce lieu est très retiré et tout le monde s'y rend en voiture. Marcher à pied jusqu'à 19h 30 encore ça va, et encore en semaine car le dimanche il n'y a personne dans ce coin là. Et quand je l'ai dit à un gars du théâtre que c'était dangereux, il m'a dit “mais ou menos” c'est à dire... "plus ou moins"… façon de parler….
Je suis donc retournée chez moi, la colère au ventre contre cette ville où je ne suis pas libre de faire ce que j'aurais envie de faire, parce que la nuit, c'est dangereux de marcher seule à pied, et en plus avec une gueule d'étrangère que j'ai... et que aussi que les lieux de culture sont éloignés ainsi dans des endroits inaccessibles si on n'est pas motorisé, c'est dingue ça.
Voila pourquoi j'aime mieux ma vie à Paris, où là, on peut sortir la nuit, seule, et sans danger ou presque.
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